En Côte d'Ivoire, les pesanteurs socioculturelles empêchent nombre de femmes de dénoncer les violences qu'elles subissent, notamment au sein de leurs foyers. Le règlement à l'amiable est souvent privilégié aux poursuites judiciaires en cas de VBG, sans réelle sanction à l'encontre des auteurs. Cela renforce le sentiment d'impunité de ces derniers et entrave l'accès des femmes aux services de prise en charge médicale, psychologique, juridique, socioéconomique, de protection dont elles nécessitent